Je suis un fétu de paille

Je suis un fétu de paille,
Dans le courant de la vie,
Comme le train sur ses rails,
J'ai un chemin, je le suis.

Et je suis la feuille au vent,
Le ruisseau qui suit son cours,
L'herbe verte du Printemps,
Les pâleurs du point du jour.

Je suis fleur en ton jardin
Dans la douceur de l'Eté,
Et la rosée du matin,
Sur la terre abandonnée.

Et les couleurs de l'Automne,
Celles du ciel un jour de pluie,
Et l'orage qui résonne,
Dans la chaleur de nos nuits.

Je suis la neige en Hiver,
Et l'étoile du Berger,
Et la froideur de la pierre,
Dans des contrées éloignées.

Immuable, je suis la vie
Ainsi que le temps qui passe,
Le soleil de ton midi,
L'immensité de l'espace.

Mais je suis bien plus encore,
Lorsque je suis dans tes bras,
Car tu es mon seul trésor,
Et je ne suis... que par toi.

Encore et encore

Le front perlé de sueur, les yeux grands ouverts
Un mouvement de la main caresse le souvenir d'hier
De l'empreinte de ton corps s'échappe un exaltant parfum
Sur la page blanche du plafond, au cadre florentin
L'inspiration me prend, et je me laisse aller
Transcrivant mot à mot, mes émotions passées
Jetant de temps en temps un regard avec sévérité
Sur la pendule, marquant les heures, instants d'éternité
Qui t'arrachent à mes bras; lasse, épuisée, je m'endors
J'aimerai être près de toi, encore et encore

Je t'aime

J'adore quand ta bouche embrase ces deux mots,
Lorsqu'elle les délivre avec force, avec fièvre,
Mais je trouve plus sage et sans doute plus beau,
Quand tendre, elle vient les déposer sur mes lèvres.

C'est à ce moment-là que le désir va naître,
Et c'est à cet instant qu'une douce chaleur,
Venue de mes entrailles envahit tout mon être,
Et que je sens mon âme inondée de bonheur.

Alors l'acte d'amour devient inéluctable,
Et le désir grandit jusqu'à la déraison,
Car la raison n'est plus qu'une poignée de sable,
Qu'une vague géante emporte à l'horizon.

A l'ancre de ton nom ces mots sont amarrés,
Deux mots simples dotés d'une puissance extrême,
Qui font d'une vagabonde, une femme vénérée,
Alors, viens sur mes lèvres apporter tes "Je t'aime".

La formule

"Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain."

La formule est célèbre, elle est presque un adage,
Mais je ne l'aime pas... elle veut dire, je crains...
Qu'on aime... mais... que l'on peut aimer davantage.

Pour ma part, souviens-toi, ne te l'avais-je dit ?
Mes amours ne savent jamais être légères.
A mon premier regard j'ai vu mon paradis
C'était toi mon bonheur, ma passion viagère.

Cet amour est entré dans mon coeur tout béant
Il y a conservé son rythme de géant...
Le doute là-dessus peut frapper à mon huis,
Il trouvera toujours une porte bien close.

Je mentirais si je te disais autre chose :
Je ne pourrais jamais t'aimer plus qu'aujourd'hui.

Si !

Si l'amour était le vent,
Je serais la brise qui te caresse les cheveux,
L'air qui entretien ta vie.

Si l'amour était de l'eau,
Je serais la goûte qui ruisselle sur ton corps,
Dessinant une oeuvre d'art à même ta peau.

Si l'amour était le feu,
Je serais la flamme qui tendrement te garderait au chaud.

Si l'amour était la terre,
Je serais un sol fertile riche d'or et de diamants.

Mais je ne suis pas le vent, non je ne suis pas non plus le feu,
Mais je suis fait de terre et d’eau, et pour moi l'amour c'est...

Voir au travers de tes yeux,
Toucher au travers de tes doigts,
Goûter par l'orifice de ta bouche,
Sentir au travers de ta peau,
Vivre au rythme de ton coeur,
Telle une goutte d'eau au contacte du feu,
Transportée par le vent,
Ruisselant sur ton corps,
Tombant sur la terre, affinant l'or et le diamant.

Je t'aimerai

Je t'aimerai dans le vent
Sous le ciel tendre du printemps,
Dans la blancheur des lilas,
Dans la douceur des roses...
 
Je t'aimerai dans le chant de l'oiseau
A l'ombre frêle du feuillage,
Sur la pierre chaude et nue
Dans le soleil brûlant,
Dans le frisson de l'herbe
Et le cri de l'insecte...
 
Je t'aimerai le jour et la nuit,
Dans le calme et dans l'orage
Sous l'étoile éveillée,
Dans les brumes du soir
Et les matins de rosée,
Dans le sourire et dans les larmes,
De toutes mes forces je t'aimerai...

Un sentiment

Il existe un sentiment,
Un sentiment qui rend heureux,
Un sentiment qui nous fait vivre,
Un sentiment qui nous attire,
Ce sentiment c'est l'amour
Celui que j'ai pour toi !

 

Oui, presque !

Libre de penser, de rire et d'aimer,
Profiter des secondes de bonheur,
De paix, de joie et savoir décider,
Sans aucune crainte et sans peur :
 
Savoir dire non, oser et choisir,
Construire, entreprendre et bâtir.
Il suffit de si peu de chose,
Un peu de courage si j'ose.
 
La vie n'est pas toujours facile,
Mais il suffit de redresser la tête,
D'affronter certaines adversités,
Avec beaucoup de sincérité.
 
Suivre son cœur, ses pensées,
Ses choix et ses propres idées.
C'est alors et seulement ainsi,
Que l'on devient acteur de sa vie.
 
Il faut dans la vie savoir aussi,
Tendre la main à qui en a besoin,
Sans espérer un retour... ni rien,
Juste se dire que c'était bien.
 
Alors s'installe l'harmonie avec soi-même,
Et ainsi le monde parait presque parfait !
Oui... Presque !

Dans la profondeur de tes yeux

Dans la profondeur de tes yeux,
Je me glisse, je me perds, je me noie,
Je respire ton regard précieux,
Je suffoque et je m'enivre de toi,
 
Agrippée à la bouée de tes lèvres,
J'avale l'eau salée de tes mots,
Jusqu'à ce que j'en crève,
Je nagerai dans tes flots,
 
Parmi les chutes de ton coeur,
Je plonge et j'éclabousse,
Tes sentiments tapageurs,
En un battement, une secousse,
 
Sur la rivière de ton amour,
Je voguerai sur tes eaux vives,
Jusqu'à mon tout dernier jour,
Jusqu'à ce que de toi, je sois ivre.

Une larme

Soudain elle surgit venue des profondeurs
Sa valeur est inestimable tant elle est vraie
Plus riche qu'un trésor
Elle perle au gré du moment
Scintillante de vérité
Et pourtant si indéchiffrable
Personne ne peut la comprendre
Elle s'écoule
Pour laisser fuir l'autre qui la suit
Remplie de joie ou de tristesse
Seul la personne qui la laisse filer peut la comprendre
Car elle crie dans le silence
Du jour ou de la nuit
Où il y a une larme il y a un coeur.

Je n'ai pas les mots

Je n'ai pas les mots
Pour te dire mon cher Amour
Ce qui arriva un jour
Toute rationalité faisant défaut;
 
Je n'ai pas les mots
Pour t'avouer mon Amour
Les regrets qui hantent mes jours
Et dont ma plume se fait l'écho;
 
Je n'ai pas les mots
Pour te convaincre mon bel Amour
Que la destinée a suivi son cours
Sans que je puisse opposer mon véto;
 
Mais j'ai encore les mots
Pour t'affirmer mon Amour
Que je t'aime comme au premier jour
Et ces mots là ne me feront pas défaut;
 
Je ne sais pas ce que demain nous réserve
Je ne sais quel chemin sera le nôtre;
La vie nous rendra t-elle l'un à l'autre
Où rester séparés nous devrons sans fin ?
 
Je n'ai pas la réponse à ces questions
Mais je sais que nous nous aimons
Et je suis prête à t'attendre, à t'espérer,
Un jour, un mois ou même des années;
 
Mon amour s'appelle désormais patience
Se nourrit de souvenirs et d'espérances;
Le temps n'a guère plus d'importance
Car tu es le souffle de mon existence.

Au mot d’ « Eternité »

Si par malheur ta main vient à quitter la mienne
Que ferai-je sans toi, loin du clair de tes yeux
Quand mes jours assombris verront pleurer ma peine
Le cœur glacé d’effroi, loin du feu de tes yeux.
 
Si tu pars le premier en ces contrées lointaines
Où l’on nous dit qu’un jour on peut rencontrer Dieu
Ce cœur va chavirer, et dans l’eau des fontaines
Il va chercher sans fin le miroir de tes yeux.
 
Prends ma main dans ta main, et au fond de tes yeux
Laisse-moi découvrir la douceur de ce feu
Où je puise ma force et ma sérénité
Le temps nous est compté, inexorablement
Que s’embrasent les jours, à nos plaisirs d’amants
Car mon cœur s’épouvante au mot d’ « Eternité »

Il est des chants

Aux longs soirs de ma solitude
Il est des chants de rossignol
Que nous écoutions d'habitude
Main dans la main, l'âme en envol
 
Et je ferme les yeux, mon ange
Sur ces moments délicieux
Car pour moi, vois-tu rien ne change
Mon cœur est toujours amoureux !
 
Et ces chants d'oiseaux qui appellent
Aux matins de ma solitude
C'est bien ta voix qui me rappelle
Que la vie n'est qu'un interlude
 
Que le chemin sans toi, mon âme
Pour moi s'ouvre encor vers la joie
Et que ta main, aux promenades
Ne lâchera jamais ma main...

Dis maman...

Dis maman, pourquoi tu pleures ?
Pourquoi sur tes joues tant de larmes
Qui inondent ton visage et ses couleurs
D'un voile sombre qui te désarme ?
 
Dis maman, pourquoi tu pleures ?
Pourquoi tes lèvres ne sont plus sourire
Irradiant comme une vague de bonheur
Les coeurs que tu gratifiais de rire ?
 
Dis maman, pourquoi cette peine ?
Pourquoi cette douleur qui t'afflige
Comme une rivière brûlante dans tes veines
Dévastant ce corps que l'amour néglige ?
 
Dis maman, pourquoi cette peine ?
Pourquoi ces longues nuits sans sommeil
Ressassant un passé qui te voyait sereine
Dessinant le plaisir sur tes pommettes vermeils ?
 
Dis maman, pourquoi ne pas oublier ?
Pour que demain ne soit plus noirceur
S'enfermant dans des souvenirs souillés
De l'abandon insignifiant d'un menteur ?
 
Dis maman, pourquoi ne pas oublier ?
Que l'amour est parfois épreuve et souffrance
Dissimuler derrière des mots vides de sincérité
Dans un coeur avide d'histoire et d'errance
 
Dis maman, sourit et regarde !
Vois, nous sommes là et jamais ne te ferons mal
Dis maman, sourit et chante
A la beauté de la vie, à ses rires et ses rêves
 
Dis maman sourit, pour nous !
Dis maman... Prends ma main...
Que tu es jolie maman... quand tu souris !!!

Ma solitude

Je ne sais vers qui me tourner
Je n 'ai personne à qui parler
Je ne sais à qui confier ma peine
Mes doutes, ma douleur, ma souffrance
Je ne me suis jamais sentie aussi seule
Si incomprise, abandonnée seule face à moi même
 
Pourquoi personne n'entends mes cris
Personne ne comprends ma douleur
Mes doutes et mes peines
Je pensais ne pas être seule face à mon mal être
Mais je me suis trompée, je suis seule et incomprise
Comment sortir de ce gouffre si profond
 
Je croyais avoir de l'aide, de l'écoute
Mais je me suis lourdement trompée
Et de nouveau je dois faire face seule comme toujours
On me demande de me livrer, de m'ouvrir aux autres
Mais chaque fois que je le fais je me bute
A cette incapacité de me comprendre
De m'écouter ou de vouloir simplement essayer de m'aider
 
Pourquoi suis-je ainsi, livrée à cette douleur, cette solitude
Se sentir seule parmi des milliers d'êtres
Dois-je penser que ce sera toujours cela ma vie
Être seule et incomprise
Est-ce mon destin de ne ne jamais être aimée
Comme moi je peux tant aimer, tant donner
Et non être incomprise et pas écoutée
 
Tout le contraire de ce que je fais pour les autres
Si tel est mon destin que de détruire tous ce que je touche
De vivre dans cette solitude même quand je ne le suis pas
Quel est ma raison d'exister alors !
Serait-ce de souffrir éternellement pour un quelconque pêcher
Que je ne connais même pas
 
Je ne trouve aucune raison,
Ni aucune explication
A ce tourment qui me hante
Ce sentiment de solitude
D'incompréhension totale
 
Pourquoi alors que moi je ne cherche qu'à donner
Aimer, partager, offrir mon cœur
Aimer et être aimer est-ce trop demander à la vie
Ou si je n'en suis pas digne que l'on m'en donne la raison
Que je puisse me racheter et essayer de trouver le bonheur.

Mon coeur s'ennuie

Le temps passe lentement.
Dans l'ennui de toi.
Je te voudrais en ce moment.
Tout près de moi.
 
Comme mon cœur s'ennuie.
De ces journées sans fin.
Et je pense à toi mon chéri.
Dès le lever du matin.
 
Il me manque ta voix.
Qui apaise mes peines
Et qui réchauffe en moi
Le sang de mes veines.
 
Je m'ennuie de ton sourire.
Quand mes yeux croisent les tiens.
De te sentir frémir.
Sous les caresses de mes mains.
 
Je m'ennuie chaque jour.
Qu'il pleuve ou qu'il fasse beau.
De tout ton amour.
Et le parfum de ta peau !

Un ami sincère

Un ami sincère
Peut faire naître un sourire
Quand nous sommes abattus
Et que rien ne va plus.
 
Un ami sincère
Peut comprendre nos épreuves
Et, d'une simple poignée de main,
Nous remettre en chemin.
 
Un ami sincère
Est fait pour partager
Nos rêves les plus secrets
Tout en demeurant discret.
 
Un ami sincère
Vaut plus que de l'or,
Car, au fond de son coeur,
Il ne veut que notre bonheur.

Ces silences

Il y a de ces silences
Très, très lourds de sens
De ces douleurs, incandescentes
De ces absences, toujours présentes
 
Marques indélébiles
De doux moments fébriles
Nostalgie de souvenirs
Qui pourtant, faisaient rire
 
Ne pouvoir effacer
Ce qui fait pleurer
Puisqu'oublier voudrait dire
Chasser aussi son sourire
 
Devoir poursuivre une route
Sans balises pour nos doutes
Devoir chercher conseil
Au creux d'un rare sommeil
 
Et la musique des hiers
Chuchote au creux de l'hiver
Un amour en floraison
Depuis moultes saisons
 
Rien ne peut amenuiser
L'amour réel et soudé
Nul baume, nul psaume
N'altérerait son arôme
 
Une âme s'est envolée
L'autre s'efforce de continuer
Dans un monde, à jamais différent
Par le trop prompt départ de l'amant
 
Il y a de ces silences
Qui prennent tout leur sens
Quand au loin et tout près, son murmure
Berce et caresse, frôle, rassure
et aime, dans sa forme la plus pure...

Seule au monde

Chaque jour est une vie,
Éphémère incertitude,
Chevaucher sans soucis
L’immense solitude.
 
La vie est un enfer
Sans dessus dessous,
Rien qu’une chimère,
Nue et sans atouts.
 
Pour un instant fragile,
Et sans aucun détour,
Se rendre plus docile
Vers l’éternel amour.
 
Cela il faut partager
Ce moment, cette seconde,
Ne rien laisser passer,
Contempler le monde.
 
La vie est un jour
Que rien ne remplace,
L’indicible amour,
Nul ne sait, nul n’efface.
 
A chaque coin de rue,
Le bonheur est bien présent,
Ne jamais être déçue,
Toujours aller de l’avant.
 
Pour une vie à deux,
La terre est bien ronde,
Pour tous les amoureux
Qui sont seuls au monde.

Au gré du vent...

Je laisse faire le temps
Pour oublier certaines choses du passé
Je vis au présent
A la recherche de la liberté.
 
Je vais au gré du vent
Sans plus fermer les yeux
Peut-être est-ce toi que j'attends
Je voudrais te rendre heureux.
 
Tu partages mes joies et mes peines
Sans jamais un soupir
C'est un travail de longue haleine
De tenter de me faire sourire.
 
Tu essaies de faire entrer le soleil dans mon coeur
Dans cette brèche que tu as découvert
Qui ne serait pas charmé par tant de douceur ?
La route est longue, il te faudra percer bien des mystères...
 
Tombe le rideau, lentement
J'aperçois une petite lumière au loin
Je voudrais me débarrasser de tous ces tourments
Et profiter de la vie, enfin !

Être seule...

C'est le mal qu'on ressent,
C'est le soleil absent,
C'est le mauvais présent,
C'est l'avenir absent.
 
Être seule...
C'est des jours sans lumière,
C'est une triste chaumière,
Peut-être le regret d'hier,
Toujours l'absence d'un tiers.
 
Être seule...
Ce n'est pas un choix,
C'est ce qu'on reçoit.
C'est revenir à Soi,
C'est tout sauf Toi.
 
Être seule...
C'est ne pas s'impliquer,
Et pouvoir improviser,
C'est ne pas implorer
Et vivre sa liberté.
 
Être seule...
C'est tout un vacarme
Parfois vécu comme un drame.
C'est des jours pleins de larmes
Tout entier vides de charme.
 
Être seule...
C'est l'absence de communication,
Un trop-plein d'incompréhension,
C'est la solitude à l'unisson,
C'est le manque d'Affection.
 
Être seule...
C'est une grosse envie de Tendresse,
Et l'envie de quitter la tristesse...

 

Elle

Elle est descendue trop vite de son nuage
La tête lui tourne encore
Le vent a emmené son image
Et elle a pleuré très fort.
 
Elle s'est laissée emporter
Par ses nombreux rêves
Elle ouvre les yeux sur la réalité
La passion est décidément trop brève...
 
Le cœur brisé, elle voudrait mourir
L'amour au loin s'est envolé
Il n'est plus question de partir
Il est passé, le temps d'aimer !
 
Elle doit s'efforcer de tout oublier
Plus jamais on ne l'y reprendra
Quand elle pourra pardonner
Elle aura franchi le pas.
 
Ne plus se tourner vers le passé
C'est très important
Il faut maintenant pouvoir avancer
Et vivre enfin au présent !

A la force de ...

A la force de tes bras
Tu as construit un endroit
Où je viens me réfugier
Quand la vie m'a rudoyée.

A la force de tes mains
Tu as tracé un chemin
Qui me ramène vers toi
Quand me vient le désarroi.

A la force de tes yeux
Tu repeins mon ciel en bleu
Dès que ma vie est au gris
Et mes yeux remplis de pluie.

A la force de ton sourire
Tu ensoleilles l'avenir
Mon corps tout contre le tien
Je crois enfin en demain.

A la force de ton coeur
Tu m'inondes de bonheur
Et je n'ai plus peur de rien
Près de toi je me sens bien.

A la force de ton amour
Tu illumines mes jours
Et dessines un paradis
Où je veux passer ma vie.

Je crois

Je crois en cet amour,
Qui nous lie l'un l'autre
Bien plus fort chaque jour,
Quoiqu'en pensent les autres.
 
Je crois en l'évidence
De l'union de nos coeurs
Et mesure la chance
De vivre un tel bonheur.
 
Je crois en cet émoi,
Auquel on s'abandonne
Nous guidant, toi et moi
Droit jusqu'au firmament.
 
Je crois en nos caresses
Que réclament nos chairs,
Et l'infinie tendresse
Quémandée en prières.
 
Je crois en la passion
Qui demeure immuable
Même au gré des saisons
Et nous rend, intouchables.
 
Je crois en cette force,
Que l'on puise en nos yeux
Dès qu'un doute s'amorce,
Et nous fait sentir mieux.
 
Je crois au temps qui passe,
N'altérant que le corps,
Mais bien inefficace,
Sur les sentiments forts.
 
Je crois en ces amants
Qu'on restera toujours,
Qui défieront le temps,
Jusqu'au tout dernier jour.

L'amour c'est...

Si l'amour était le vent,
Je serais la brise qui te caresse les cheveux,
L'air qui entretien ta vie.

Si l'amour était de l'eau,
Je serais la goûte qui ruisselle sur ton corps,
Dessinant une oeuvre d'art à même ta peau.

Si l'amour était le feu,
Je serais la flamme qui tendrement te garderait au chaud.

Si l'amour était la terre,
Je serais un sol fertile riche d'or et de diamants.

Mais je ne suis pas le vent, non je ne suis pas non plus le feu,
Mais je suis fait de terre et d’eau, et pour moi l'amour c'est...

Voir au travers de tes yeux,
Toucher au travers de tes doigts,
Goûter par l'orifice de ta bouche,
Sentir au travers de ta peau,
Vivre au rythme de ton coeur,
Telle une goutte d'eau au contacte du feu,
Transportée par le vent,
Ruisselant sur ton corps,
Tombant sur la terre, affinant l'or et le diamant.

"Toi et moi, c'est pour la vie"

Tu réchauffes ma vie
Tu la colories
Un peu du bleu de tes yeux
Pour me faire aimer les jours

Une touche du rouge de ton coeur
Pour me pimenter les nuits
Après le coup de foudre des pupilles
Et celui des papilles

J'ai maintenant le coeur qui tangue pour toi
Comme le sang qui coule dans mes veines
En permanence, je pense à toi
Indélébile, tu imprimes ma peau

Fabriquée pour toi
Merci pour tous les bonheurs que tu me donnes
Et tout ce rose dans mon horizon
Tu me fais aimer la vie

Voir demain d'un oeil meilleur
Tu es un amour d'amour
Tendrement je t'aime
Et je te dis tout bas à l'oreille

"Toi et moi, c'est pour la vie"

Je ne pourrais jamais...

"Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain."

La formule est célèbre, elle est presque un adage,
Mais je ne l'aime pas... elle veut dire, je crains...
Qu'on aime... mais... que l'on peut aimer davantage.

Pour ma part, souviens-toi, ne te l'avais-je dit ?
Mes amours ne savent jamais être légères.

A mon premier regard j'ai vu mon paradis
C'était toi mon bonheur, ma passion viagère.

Cet amour est entré dans mon coeur tout béant
Il y a conservé son rythme de géant...

Le doute là-dessus peut frapper à mon huis,
Il trouvera toujours une porte bien close.

Je mentirais si je te disais autre chose :
Je ne pourrais jamais t'aimer plus qu'aujourd'hui.

As-tu déjà aimé ?

As-tu déjà aimé ?
 
Aimé à tel point, que quoi qu'il dise
Quoi qu'il fasse, il te rende tellement heureuse,
Que son sourire te caresse comme une douce bise,
Qu'il te transporte rien qu'en n'effleurant tes mains doucereuse.
 
As-tu déjà aimé ?
 
Aimé si fort, que tes jours comme tes nuits
Soient habités de tendres rêves et de douces pensées,
Qu'à chaque instant, chaque minute, chaque seconde de ta vie
Ton coeur s'emballe et batte la chamade rien qu'à le contempler.
 
As-tu déjà aimé ?
 
Aimé un homme, qui malgré ses grandes faiblesses,
Malgré ses erreurs te désarme et te donne le désir
De n'être aimé par aucun autre que par cet être rempli de tendresse
Un homme qui par sa seule présence, sa seule pensée, t'enivre de plaisir.
 
As-tu déjà aimé ?
 
Moi, oui !
Et j'espère être la femme qui comblera ses rêves
Qui satisfera ses désirs pour le reste de sa vie.

L'attente

J'ai appris de toi
L'absolu du présent,
L'intensité du désir,
Le précieux des souvenirs,
Et l'infinie douceur de l'attente...

 

Des mots

Si seulement il existait des mots
Qui sauraient te raconter
Je trouverais les plus beaux
Ceux qui ne peuvent rien briser.
 
Je les placerais devant toi
Sur une tendre mélodie
Ils t'exprimeraient ce que moi
Je n'ai encore rien dit.
 
De ta tendresse et de ta douceur
Ils sont le lien qui nous unit
Car j'y ai trouvé dans ton coeur
Un amour infini.
 
Pourquoi donc cette solitude
D'un coeur qui a tant souffert
Vient blesser les habitudes
Comme si elles ne savaient qui faire.
 
Ce matin je pense à toi
Et les mots dansent devant mes yeux
J'aimerais être dans tes bras
Plus un seul mot rien que nous deux.

Le Paradis

Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
En quête d'une île déserte, d'une planète inconnue,
D'une terre vierge, encore inexplorée et nue,
D'un petit coin d'univers, hors du temps, hors d'ici.
 
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
Je voulais un peu de Paix, pour mon coeur fatigué.
Je voulais fuir les querelles et tout recommencer,
Sur la Terre originelle, renaître de l'oubli.
 
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
Quitter cette vie insensée, rejoindre le ciel.
Je l'imagine aussi pur que sa couleur pastelle,
Vestige de beauté d'une nature si meurtrie.
 
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
Comme une lueur d'espoir apaisant la souffrance,
Et quand bien même un mensonge, pour nier l'évidence,
D'avoir la Peur pour compagne d'une vie sans répit.
 
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis.
Et mes yeux, troublés de larmes, ont croisé ton regard,
Et mon Destin, soudain, s'est joué au gré du hasard.
C'est là, aux frontières de ton coeur, qu'alors j'ai compris.
 
Quelque part, dans ce monde, je cherchais le Paradis,
Mais il n'existe ni asile, ni mythe fantastique.
Il n'y a que l'Amour pour faire le monde magnifique.
Et ton amour pour moi a donné sens à ma vie.
Quelque part, dans ce monde, j'ai trouvé mon Paradis.

Je vis pour vous !

Je vis pour vous jour après jour
Vous m'avez donné la clé de l’amour
Et c’est depuis ce jour que je vous aime !
Vous êtes ma plus belle histoire d’amour.
Je suis triste sans vous
Je suis perdue et je vous appelle !
Quand mon cœur se fait trop lourd
Vous êtes les seuls à pouvoir me porter secours.
Vous êtes l’amour de ma vie
Et vous serez toujours en moi !
A mes enfants, je vous aime de tout mon coeur

J'écris tout simplement

J'écris tout simplement
Ma peine au jour le jour
Tes mains sur moi étaient velours...
Je souris, fais semblant
D'être heureuse un instant
Ton regard vert me troublait tant...
Je marche, il le faut bien,
Inexorablement
Arrimée à ton coeur brûlant
Et j'ai l'espoir un jour
De retrouver tes bras
J'y trouvais le ciel ici-bas
J'écris tout simplement
Ma peine au jour le jour
J'écris pour toi ces mots d'amour...

Meurtrissures

Je n’entends plus tes pas sur le plancher sonore,
Ta voix s’est effacée ainsi que ton regard
Le lit est un désert où je te rêve encore
Et te cherche sans fin jusqu'au matin blafard.
 
Je voudrais tant venir vers toi ô ma belle âme
Désir de te toucher, désir de t’enlacer
Mais la nuit de nouveau fait resurgir le drame
Le jour plombe mon coeur et son refrain lassé.
 
Je partirai là-bas où nous allions ensemble
Au bord du golfe bleu où fleurit l’aloès
Je marcherai longtemps dans la chaleur qui tremble
Je meurtrirai mes mains aux feuilles des kermès.
 
A l’offrande insensée de mon sang qui ruisselle
Peut-être viendras-tu étancher ma douleur
Et je verrai, du haut d’une blanche nacelle
Ton regard se pencher pour pleurer sur mon cœur !

S.O.S.

Prend moi dans tes bras,
Et assure moi que ça ira.
Plonge ton regard dans le mien,
Et vois que tout ne va pas bien.
 
Offre moi un peu d'attention,
Que je sois sous ta protection.
Mon armure est souvent trop pesante,
Et parfois j'aimerais qu'elle s'absente.
 
Alors vient et réconforte moi,
Lorsque tu vois que ça ne va pas.
Car même si je ne le dis pas,
En réalité j'ai besoin de toi...
 
Puisque je ne veux surtout pas,
Trop déranger avec mes tracas.
Fais moi juste oublier ma tristesse,
Pour qu'enfin mes larmes cessent.
 
Apporte moi ton soutien,
Que je ne risque plus rien.
Console moi comme tu peux,
Afin que j'aille mieux...

Déprime

Durant cette période où rien ne va,
J'ai le sentiment que le sort s'acharne sur moi.
Et je ne comprends pas pourquoi.
 
Il me faudrait le soutien de quelqu'un,
Pour espérer à nouveau me sentir bien.
Car je suis affaiblie au fond de moi,
Plus la force ni l'envie de quoique se soit.
 
Je me laisse alors dépérir,
Et mon mal empire,
Sans que je parvienne à en sortir.
 
Perdu dans de sombres pensées,
J'aimerai bien savoir où aller,
Que l'on me dise quel chemin emprunter.
 
Car je vois le temps défiler sous mes yeux,
Mais malgré ça, moi, je ne vais pas mieux !
C'est hélas, parfois une passe de la vie,
Qui peut survenir sans même en être avertie.
 
Alors il faut lutter pour ne pas sombrer,
Et surtout ne jamais abandonner !
Puisque très souvent on en guéri,
Et que l'on profite à nouveau de la vie.

Un temps de vie

Un temps de la vie
Au chemin accidenté
Où chaque heure fuit
Cette triste réalité.
 
Soleil tristement noyé
Par trop de larmes
Que le temps a transportées
Vers un autre rivage
 
Ces yeux trop souvent humides
Creusés par le chagrin
Qui a formé ces rides
Au fil des matins
 
Soudain les larmes s'assèchent
Au regard d'un sourire freine
Les peines disparaissent
Et je me sens plus sereine
 
Cette vie que je fuyais
Je l'embrasse maintenant
Ce soleil qui jadis brillait
Me revient lentement
 
Je remercie ton sourire
La beauté de tes yeux
Tu me redonnes le goût de vivre
Je me sens enfin heureuse !

Châteaux de roi

Tu es le début d'un temps nouveau
Lumière d'un doux matin
Eau douce du ruisseau
Que je caresse de la main
 
À chaque lever du jour
Je regarde ton doux visage
Et mes yeux en savourent
La beauté de l'image
 
J'enveloppe dans mon cœur
Ce grand désir d'aimer
Décoré de mille couleurs
Ces rubans enchantés
 
Au précieux cadeau du ciel
J'ajoute quelques mots d'amour
Merci pour tant de merveille
Que ta vie m'apporte chaque jour
 
Je referme l'enveloppe avec soin
Déposant le tout près de toi
J'aperçois le soleil au loin
Qui brille enfin pour moi
 
Je le dois à tes yeux
Et à cet amour pour moi
Mon bonheur est plus fabuleux
Que tous les châteaux des rois.

Un nouveau départ

Il est temps de tourner la page...
Il est temps d'enterrer cette rage...
J'écris ma nouvelle histoire...
Mais je ne peux savoir...
 
Ce qui se passera pour moi...
Ce qui m'arrivera...
Je ne sais plus qui je suis...
Je ne sais plus quel chemin suivre...
 
Tout est tellement flou...
Il y a de quoi devenir fou...
J'écris ma nouvelle histoire...
En espérant qu'elle ne soit plus si noire !!!
 
Plus de 3 mois passé sans toi...
Et peu à peu je redeviens moi...
Après 3 mois loin de toi...
Je sais maintenant pourquoi...
 
Mais je me sens bien plus libre...
Ma vie a un meilleur équilibre...
Depuis que je suis séparée de toi...
Depuis que je vis loin de toi...
 
Une nouvelle étape de ma vie...
Car celle-ci est finie...
J'enferme dans la boîte à souvenirs...
Tout ce que j'ai pu ressentir...
 
J'enferme les souvenirs et je jette la clef...
Pour que jamais je ne puisse me rappeler...
Toutes ces disputes et noirs souvenirs...
Qui ont failli me détruire...

Je voudrais comprendre...

Je voudrais comprendre les secrets de mon passé,
Les secrets de mon existence, de mon désarroi.
Je voudrais comprendre toutes mes angoisses,
Et toi, tu es là, présent,
Près de moi, me guidant vers mon avenir.
 
Je voudrais comprendre mes premiers pas, vers mon nouveau destin,
Que tu m'as offert par cette porte entrouverte,
Où tout devient calme au fond de moi,
Où tu me fais oublier mes terreurs,
Ton amour m'apporte le réconfort.
 
Je voudrais comprendre aujourd'hui mon passé,
Ce passé qui s'éteint petit à petit auprès de toi.
Ce gouffre où j'étais plongée depuis tant d'années,
De mille regrets et de souffrance,
Tu es là maintenant, présent, m'ouvrant ton cœur.
 
Je voudrais comprendre ce sentiment bizarre qui m'envahit,
Devant cet amour intense, cet union qui dépasse le firmament.
Qui pour rien au monde n'est plus précieux que ta présence,
Mon cœur bat à chaque instant pour toi,
Mes yeux s'ouvrent devant la réalité.
 
Je voudrais comprendre le pourquoi de ce changement au fond de moi,
Qui s'opère, qui devient réalité.
Ces sentiments que je te porte, m'aide à vivre,
A entrevoir les portes du bonheur,
Ce bonheur, ces désirs, ces pensées tant désirés, vont vers un seul regard,
Toi, mon coeur, mon aimé.
 
Je voudrais comprendre mon existence,
Qui à ce jour est si présent en moi,
Tu es là, tu me fais tourner la tête,
Pour me faire réagir,
Pour me faire sortir de cette torpeur,
Et me donner le courage d'affronter la vie.
 
Je voudrais comprendre pourquoi, pendant toutes ces années,
Je t'ai cherché, et enfin trouvé.
Maintenant, j'aspire avec toi au bonheur,
Ce bonheur tant attendu,
Cette vie existe, réelle, pleine d'amour,
Que tu me donnes à chaque instant de ta vie,
Je voudrais comprendre...

Petit voilier de papier

Une brise légère souffle doucement
Fait valser mon petit voilier.
L'eau est calme comme un étang
Aucune vague ne vient s'y briser.
Ma vie se déroule en aimant,
Ma famille et mon aimé.
 
Un petit oiseau prend son envol,
Sur mon bateau, vient se poser,
Je le contemple comme un symbole,
Peut-être voudra-t-il rester
Le temps que je puisse l'aimer,
Mon cœur est si plein de naïveté.
 
Puis, l'étang se change en océan,
Les vagues déferlent sur mon voilier,
Elles vont le faire chavirer
Avec ce vent comme un ouragan ;
Mon aimé vient de me laisser
Avec une autre, il s'en est allé.
 
Mon petit voilier de papier
Comme mon cœur, s'est déchiré.
Ne reste plus que mes larmes
Et une peine qui me désarme.
Pourrai-je oublier un jour
D'avoir perdu mon amour ?

Mon petit panier

Dans mon petit panier
J'ai voulu y mettre de la gaieté
Je l'ai rempli de fleurs
De toutes les couleurs.
 
Comme il n'était pas bien lourd
Je lui ai ajouté de l'amour
Un soupçon de tendresse
Que j'ai déposé avec délicatesse.
 
Il me semblait encore bien léger
Quand je l'ai soupesé
Il reste tant de choses à mettre
Je ne veux rien omettre.
 
Un peu de bonheur
Pour attendrir le cœur
Il ne faut pas oublier
Une infime quantité de baisers.
 
Et pour terminer
Un sentiment de bonté
Mais j'attends un signe de l'au-delà
Ensuite, tu apparaîtras...

Le meilleur moment de la journée

C’est lorsque le soleil disparaît à l’horizon
Qu’il est rouge, et que sa dernière moitié
Embrase les terres et les arbres en bourgeons
Que sa lumière incandescente et remplie de feu
Nous confirme l’arrivée du printemps,
Et nous annonce des jours plus heureux.
Alors c’est là, que, assise sur mon banc,
J’admire la beauté du ciel et du paysage,
Que je réalise que cette nature est belle,
Et qu’elle nous a été donnée en héritage
Afin qu’en admirant ce moment exceptionnel
Qui nous apporte la sérénité dans le cœur,
Nous fasse réfléchir et prendre conscience
Et que notre esprit se transporte ailleurs
Pour nous rappeler à notre souvenance,
Qu’il en faut peu parfois pour être heureux,
De savoir que d’autres, au même moment
Avec le même spectacle sous les yeux,
Pensent à nous et nous aiment tendrement.
Seuls, ces instants et ces idées,
Doivent nous faire apprécier le bonheur,
Et toutes ces joies additionnées
Effacer et estomper nos malheurs.

Imaginaire

Je voudrais vivre au pays des fées
Pour suivre mes rêves insensés
Personne pour me déranger
Je ne verrais pas le temps passer
 
Plus besoin de compter
A moi la liberté !
Je me sentirais soulagée
Puisque je pourrais m'accepter
 
Ah pouvoir à l'aise, méditer...
Je n'ai qu'une chose à souhaiter
C'est de pouvoir t'aimer
Sans jamais m'arrêter
 
Et garder intacte notre grande Amitié
Il suffit de très fort y penser
Les vœux finissent toujours par se réaliser.


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Commentaires

Elodie
il y a 5 mois

Superbe, bravo, j'adore